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![]() ![]() ![]() Le Gîte d'Ancy
à Ancy-leFranc &
le gîte La Loge du Huchier à
Nuits-sur-Armançon des gîtes en Bourgogne
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Tourime en Bourgogne Pour découvrir les merveilleux châteaux de notre coin de Bourgogne, rien de mieux qu’un hébergement en gîtes à Ancy-le-franc ou à Nuits Le château d'Ancy-le-FrancDeux
familles ont marqué l’histoire du château, Les "Clermont" de la
construction jusqu’en 1683, date où le célèbre ministre de Louis XIV,
le Marquis de Louvois en prit possession. En 1844, à la
mort du dernier Marquis de Louvois, son héritier fut contraint de s’en
séparer. Acquis par un descendant du commanditaire, il est à nouveau la
propriété de la famille de Clermont devenue "Clermont-Tonnerre", et le
restera jusqu’en 1981.
![]() ![]() Un étonnant palais de la Renaissance
Construit à partir de 1544, il est le fruit de la rencontre Antoine de Clermont et Sebastiano Serlio arrivé en France en 1541à l'invitation du roi François Ier. Surtout connu en Italie comme architecte théoricien, il ne put s’exprimer à Fontainebleau dont les plans étaient figés depuis 1530. Chef-d’oeuvre de ce maître Italien ,le château d’Ancy-le-Franc est l’un des premiers en France à avoir été conçu d’abord sur plan. Construit selon un plan carré, son aspect extérieur à la fois imposant et austère contraste avec le raffinement de sa cour intérieure. Composée de 2 loggias, d'arches, de niches et de pilastres cannelés sur le principe des travées rythmiques. Dotés d’ornementations et d’éléments richement sculptés, la symétrie des volumes, l’harmonie des façades, l’emploi des ordres, la cohérence et la rigueur de l’ensemble témoignent du génie de Serlio. L'intérieur du château décoré de peintures murales des maîtres de l’École de Fontainebleau, d'après des dessins du Primatice ou de Nicolò Dell'Abbate. Plafonds à caissons, boiseries finement sculptées, ornementations colorées en font la richesse des appartements, des galeries, salles, chambres, salons, cabinets et de la chapelle. Une vision inatendue et mystérieux du château d’Ancy-le-Franc Dès l'acte de naissance du château, la Providence se manifesta ! Antoine III
de Clermont imaginait-il en 1537, en héritant la seigneurie
d'Ancy-le-Franc et en y bâtissant son palais, que celui-ci formerait
avec Chambord et Fontainebleau un triangle pratiquement divin ?
La base formée par Ancy-le-Franc et Chambord divisée par un côté
approche le nombre d'or 1,618 la "divine proportion"
(illustré par L'homme de Vitruve de Léonard de Vinci )
![]() ![]() Louise de Clermont est très proche de son frère Antoine, elle fut éduquée avec les filles de Louis XII où elle reçut l’enseignement du latin, du grec, des mathématiques et de l’astronomie-astrologie. En découvrant la relation que pouvait avoir le site d’Ancy-le-Franc avec les ouvrages François 1er en cours de réalisation, s’inscrivant dans un triangle dont la particularité est d’être la composante essentielle du pentagone régulier, sans certitude on peut penser que germa en elle l’idée d'élever sur les terres qu’elle possédait non loin d’ici, une bâtisse aussi extravagante que peut l’être le château de Maulnes. Pour ceci a t-elle eu recours dans un premier temps à l’architecte de son frère Sebastiano Serlio et de l’inspiration qu’a put lui procurer les traductions de Jean Martin, traducteur de Serlo, mais aussi de Francesco Colonna pour le Songe de Poliphile. -=0=- Le jeu de l’énigme au château d'Ancy-le-Franc 1Au
cours de la visite, votre attention sera probablement retenue par
certaines étrangetés, des bizarreries.
En s’y attardant, on découvre que ces bizarreries sont comme des petits bouts de fil placés uniquement pour attirer votre attention, tirer sur l’un de ceux-ci, vous découvrirez que toute une histoire y est accrochée, histoire du château, histoires des maîtres des lieux, histoire de leurs familles ou encore histoire et rumeur de l'époque Mais ceci est-il dû à l’imagination, au fruit du hasard, à une quelconque coïncidence providentielle ou une volonté délibérée des bâtisseurs et décorateurs de créer une énigme ? A la Renaissance l'énigme est une forme de jeux, un plaisir ludique qui va de la simple devinette à l'énigme très élaborée pouvant prendre pour support un tableau ou toute une construction comme a pu le faire François 1er en ses châteaux. Le jeu de l’énigme est un exercice intellectuel essentiellement oral, les définitions qui paraissent simples ne le sont pas, les métaphores sont complexes et trompeuses, le double sens y est introduit et tout ceci n'a pour but que de faire triompher la subtilité de l'esprit du meneur de jeu et ceci, au détriment de l'interlocuteur. 1-Le jeu de l'énigme dans l'Espagne du XVI é siècle A.Redondo Ph. ARIES et J.C. Margolin 1980 les jeux à la renaissance -=0=-
Une énigme, placée dans les tableaux de chambre de Judith ! ( à l’étage, en suivant le cours de la visite) Réalisés au début du XVIIe siècle à la demande de Charles-Henri de Clermont, le petit-fils et héritier d’Antoine III, ces tableaux décoraient de la chambre du roi (pavillon nord, aujourd’hui salon Louvois), ils sont maintenant visibles dans la chambre attribuée au début de la construction du château à l’épouse d’Antoine III, Françoise Poitiers la sœur de Diane de Poitiers, célèbre maîtresse d’Henri II, cette chambre est nommée aujourd'hui chambre de Judith (pavillon est). On y découvre une Judith peinte sous les traits de Diane de Poitiers et un Holopherne ressemblant à François 1er. Diane de Poitiers a la particularité d'être la grand-tante du côté paternel de Charles Henri de Clermont et arrière-grand-mère du côté maternel. Dans le roman biblique, Judith est une jeune veuve de Béthulie, petite ville assiégée par l’armée du général Holoperne. Quand la ville est au bord de la capitulation, elle décide de se rendre au camp ennemi, elle utilisera sa beauté et son charme pour séduire le général assyrien et sauver son peuple du péril, en décapitant Holopherne. Pour la représentation d’Ancy-le-Franc, si ce n'est pas une maladresse du peintre, l’énigme est présente dans le tableau ou Judith tient la tête décapitée d’Holopherne, celle-ci semble différente de la tête du général assyrien (François 1er) . ![]() ![]() La condamnation de Jean
de Poitiers
Le 16 janvier1524 le père de Diane, Jean de Poitiers est condamné à la décapitation, suite à la sombre histoire de la trahison du connétable de Bourbon, mais alors qu'il est sur l'échafaud pour l'exécution de la sentence, il est gracié in extremis. L'histoire nous livre plusieurs raisons de cette grâce, dont l'intervention de son gendre, Louis de Brézé le mari de Diane de Poitiers, Grand-Sénéchal de Normandie, qui avait révélé le complot, ou encore les larmes de Diane qui attendrirent François 1er... Mais c’est surtout la rumeur qui laissait entendre que la belle Diane de Poitiers, à l’image de Judith, utilisa ses charmes et voir plus pour sauver la tête de son père, obligeant le roi lui-même à déclarer que Saint-Vallier ne devait sa grâce à sa fille d’aucune manière… En cette même année 1524, le 24 juillet la reine Claude de France décède, le roi est alors en campagne, à son retour il confia la garde de ses enfants à Diane, dont le dauphin François et Henri, futur Henri II.
les charmes de la belle-dame ont-ils fait pour un instant perdre la tête à François 1er? Si
cette tête coupée ne lui ressemble pas, la grâce accordée par François
1er ne ressemble pas non plus à l’état d’esprit qu’il possédait à ce
moment, car pour arracher de suprêmes révélations le roi avait ordonné
de le soumettre à la question "extraordinaire"
François 1er garde sa tête, mais le royaume perd son roi L'une
des conséquences dues à la trahison de Charles de Bourbon est la
défaite de Pavie. François 1er est capturé par l’armée impériale et
prisonnier en Espagne. Au mois de janvier 1526, il signe le Traité de
Madrid, en garantit de bonne exécution du traité ses fils, les deux
jeunes princes de huit et sept ans seront captifs à sa place. Détenus
par les Espagnoles jusqu'au 1er juillet 1530, ils furent échangés
contre une rançon colossale d'environ quatre tonnes d'or collectées
sous forme de dons et d'impôts dans tout le royaume. La vérification
prit plus de 2 mois aux commissaires espagnols en raison de la
complexité de ce trésor.
-=0=-Les clauses du Traité de Madrid, confirmé plus tard par le Traité de Cambrai, permettent à Jean Poitiers de récupérer sa liberté et ses biens. Il put ainsi doter sa fille Françoise, qui se maria avec Antoine III de Clermont en 1532 la salle des Empereurs romains ou salle des Césars (en fin de visite juste avant la chambre de Diane) Cette salle qui doit son nom aux empereurs ou Césars placés à l’intérieur de médaillons peints sous les arcatures est datée de 1578 et n’a subi de restauration. Cette
salle très dépouillée et dégradée dont le décor de la voûte paraît bien
terne, comparé à celui réalisé pour la chambre de Diane, sa voisine.
Sur l’arcature, principale décoration de la salle, les deux
inscriptions latines qui y sont peintes ont quasiment disparu, tous
comme les médaillons des Césars ou les noms sont devenus pratiquement
illisibles. Mais détrompez-vous si cette antichambre ne semble avoir
que peu d’intérêt, ici, l’ensemble des éléments architecturaux et le
décor sont probablement les éléments constitutifs d’une énigme laissée
à notre attention par les concepteurs du château. Décédé
l’année de la création du décor de cette salle, Antoine de Clermont n’a
pas eu le temps de profiter et de partager les subtilités de cette
énigme.
![]() ![]() Pour cette énigme, il est essentiel de ne jamais retenir ce qui semble évident Dans cette
salle appelée aussi salle des Césars, la référence n’est pas ici à ceux
de l’Antiquité, elle est pour celui qui se voulait être le César du
XVIe siècle. Sa mère, Louise de Savoie, le nommait, “mon César”, à la
cour, il se faisait appeler “César”, il est aussi celui qui se fit
représenter dans la grande galerie de Fontainebleau en “César” et ce
“César”, n’est autre que François 1er.
-=-
Concernant les empereurs romains, là aussi, ce n’est pas ce titre qui
est à retenir, mais celui d’une fonction qu’ils eurent tous après Jules
César, celle de Grand Pontife, ” Pontifex Maximus ” le chef du collège
des pontifes chargés de l'entretien du pont sacré de Rome. Ceci pour
indiquer que les arches symbolisent le pont et que les inscriptions
sont à utiliser dans la résolution de l’énigme.Les
inscriptions latines peintes sur les petits arcs
"SI OMNES EGO NON" Cette devise écrite sur les petits arcs correspond à celle des Clermont, mais ce n’est toujours pas là où est l’évidence qu’il faut chercher. A l’origine, ce sont les paroles que dit Simon-Pierre à Jésus. L'apôtre Pierre fut le premier évêque de Rome, sa tombe est présente sous la Basilique Saint-Pierre de Rome. Basilique qui est en pleine reconstruction à cette époque et où l’art de la Rome papale correspond à La haute Renaissance italienne. La relation avec “César” François 1er !
À partir de 1528, François Ier s’inspire de l’art de Rome, il invite les artistes italiens à s'exprimer dans son nouveau palais pour faire de Fontainebleau sa nouvelle Rome. La première réponse à l’énigme, c’est donc un pont symbolisé par les petits arcs, pour la plus courte distance partant de cette salle vers Fontainebleau -=-
Les inscriptions latines peintes sur les grands arcs "VANITAS VANITATUM ET OMNIA VANITAS" Cette
devise écrite sur les grands arcs correspond aux premiers et derniers
mots de l'Eclésiaste. Comme pour la précédente devise il faut remonter
jusqu’à celui à qui ces mots sont attribués, c’est à dire au roi
Salomon, bâtisseur du Temple de Jérusalem
Maintenant comme un puzzle monté à l’envers, il ne reste
plus qu’à faire une vérification par l’image.De Salomon à François 1er !
A l’image du roi Salomon, François 1er fit bâtir Chambord à partir de 1519, œuvre d'un roi mégalomane et égocentrique, il fit inscrire dans le plan et dans la pierre une mise en scène à la fois politique et religieuse. Plus qu’un château, c’est un temple royal, où l’on peut même y voir dans le plan de 1519 une représentation de la Jérusalem céleste. La deuxième réponse à l’énigme, c’est donc un pont symbolisé par les grands arcs, représentant la plus grande distance partant de cette salle vers Chambord Possédant
ces deux réponses, Diane “Arthémis” est sortie de sa chambre sur son
croissant de lune pour nous indiquer le centre de la salle. De ce point
théorique, il est préférable de s’approcher de la fenêtre donnant sur
la cour intérieure du château pour mieux apprécier les directions de
Fontainebleau et Chambord.
Face à vous, l’angle droit de la fenêtre à l’extrême droite donne la direction de Fontainebleau alors que l’angle gauche de la fenêtre à l’extrême gauche indique la direction de Chambord. ![]() La direction de Fontainebleau A l'époque d'Antoine III,
l’étage du pavillon “nord”,(ici à droite ) et les pièces adjacentes
constituaient les appartements réservés au roi, la salle des gardes,
étant la plus grande galerie du château, les reliait à la chapelle
située à l’étage du pavillon “ouest”, ici à gauche. Une disposition
identique à celle de Fontainebleau où les appartements royaux sont
reliés à la chapelle de la Trinité par la grande galerie François 1er.
La direction de Chambord La direction de Chambord passe bien évidemment par la chapelle du château… Qui est placée ici comme à Chambord au sud-ouest des appartements du roi . Coïncidence ou volonté des bâtisseurs ? Comme évoquée en début, la
relation du château d'Ancy-le-Franc avec les réalisations de François
1er, Chambord et Fontainebleau n’est peut-être qu’une coïncidence, mais
si elle est la volonté des bâtisseurs elle aura influencé sa
disposition, l’orientation et le plan.
-=0=- Coïncidence, providence ou énigme ? La fin de la visite de l’étage
passe par la galerie dite de Pharsale qui abrite l’un des chefs-d'œuvre
de l'École de Fontainebleau, une peinture murale exceptionnelle qui est
attribuée à Niccolo Dell’Abate, Ruggiero de Ruggieri et Nicolas de
Hoey. Mais, vous y remarquerez certainement un insolite portrait en
pied de Louis XIII, que vient-il faire là ? Pour quelle raison
bien mystérieuse au XIXe siècle les Clermont-Tonnerre ont-ils placé
Louis XIII au centre des combats fratricides de deux armées
romaines ?
![]() ![]() ![]() En plaçant un portrait en pied de Louis XIII au centre de la galerie de Pharsale et de l'aile "SUD", les Clemont-Tonnerre voulaient-ils renouer avec le jeu de l'énigme ? Si le
portrait de Louis XIII en est la clé ? L'énigme aura pour support
le plan et les transformations des façades externes du château
entreprises deux siècles et demi plus tôt par Charles-Henri de Clermont.
Ces
transformations coïncident avec des éléments d’une réalisation
pratiquement contemporaine aux travaux entrepris à Ancy-le-Franc.
La place Royale, devenue aujourd’hui place des Vosges, débutée en 1605 et inaugurée en 1612 est comme le château d’Ancy, réalisée sur un plan carré, avec sur chacun de ses côtés 9 pavillons, le même nombre d’ouvertures que possède après transformation le château d’Ancy-le-Franc. Sauf la façade “est” au rez-de-chaussée où 2 ouvertures n’ont pas été percées . Mais sans y ajouter ou en ajoutant les 2 fenêtres des pavillons pour obtenir 9 ouvertures, la septième fenêtre éclaire la salle où est répétée 12 fois la devise de la famille Clermont-Tonnerre. Place des Vosges, côté “est”, le septième pavillon, au numéro 18, est justement le pavillon Clermont-Tonnerre ! ![]() Au nord de l'actuelle place des Vosges était édifié l’hôtel des Tournelles. Henri II y fêta son sacre en 1547, et y mourut en 1559, là où à Ancy-le-Franc (façade nord) au-dessus du portail d'entrée est sculpté dans le garde-corps du balcon le chiffre de Charles Henri de Clermont, inspiré du monogramme d’Henri II et Catherine de Médicis (ou Diane de Poitiers !). Tout ceci ne serait que banales coïncidences, si la famille de Clermont-Tonnerre en se réappropriant le château plaça au centre de l'aile "Sud' et de la galerie de Pharsale le portrait de Louis XIII. Et c’est précisément là, au centre du côté "Sud" de la Place des Vosges, inaugurée par Louis XIII en 1612, que s'élève le pavillon du roi... -=0=- Les manifestations de la Providence
Si, dès
l'acte de naissance du château, la Providence se manifesta, elle
continua tout au long des siècles qui suivre
En 1845 après la mort du marquis de Louvois
La situation financière que transmettait le marquis de Louvois à son héritier M. de La Salle ne permettait pas à celui-ci de conserver le château. Cette situation critique n'étant pas un mystère, des propositions magnifiques allaient lui être faites. Les offres de spéculateurs envisageant la destruction du château, du parc et de ses dépendances pour offrir à Ancy-le-Franc une nouvelle rue et ses maisons construites avec la réutilisation des pierres du château. Alors qu’on lui offrait 900 000 francs du château avec son parc. Une communication imprévue, mais providentielle fut faite à M. de La Salle. Bien que cette proposition soit inférieure, M. de La Salle préféra les 650 000 francs des Clermont-Tonnerre qui sauvaient son château des pics des démolisseurs. Une dernière manifestation de la
providence en 1999
En cette fin de XXe siècle, alors que la toiture du château prenait l'eau , que des étais décoraient le pavillon "Nord" et que la stabilité des charpentes ne devait qu'aux câbles les retenant de l'effondrement, seule la Providence pouvait orienter la marche d’un Américain, détenteur de la SAS PARIS INVESTIR, vers le château d'Ancy-le-Franc afin de le sauver. ![]() Si
ce n’est pas une manifestation de la providence, alors ce ne peut être
qu'une communication entre l'œil placé au sommet de la pyramide du
château d'Ancy-le-Franc et l'œil de la pyramide figurant au revers du
grand sceau des États-Unis qui a pu provoquer cette rencontre !
Mais, est-ce pour convaincre quiconque aurait l'œil critique sur cette vision des choses, ou pour légitimer l'actuel propriétaire au rang de ceux qui ont fait la magnificence de la demeure que cette même Providence à amener l'élu, deux années avant l'achat d'Ancy-le-Franc à acquérir l’hôtel Montbrun situé, 19, place des Vosges ? -=0=-
D'autres énigmes,d'autres bizarreries sont probablement dissimulées çà et là. Au gré de vos visites, détectez d'autres énigmes, identifiez-les et recherchez les raisons de leurs présences. Cabinet du "Pastor Fido" , chambre des Arts, Chapelle, galerie des sacrifices, galerie de Médée, galerie de Pharsale, la chambre de Diane et la cour du donjon etc. ![]() ![]() ![]() Si vous venez ou si le hasard vous guide jusqu'à Ancy-le-Franc, ne doutez pas que la Providence veille sur le château. Einstein disait : "une coïncidence est la signature de Dieu !" Alors,
après sa visite, avancez-vous jusqu'à la pyramide, et là,
approchez-vous de l’un des 2 sphinx, confiez-lui un vœu. Puis, sous un
regard appréciateur, venant du haut de la pyramide, vous pourrez même
déposer une offrande dans le bassin. Il n'y a aucune certitude, mais ne
serait-il pas dommage, étant ici de ne pas solliciter et espérer une
bienveillance .
![]() Le château d'Ancy-le-Franc à la télévision France 2: Télématin, Histoire Histoires - Visite guidée du château d’Ancy le Franc diffusé le jeu. 19 juillet 2018 à 6h47 France 5: série documentaire-fiction historique "La Guerre des trônes"Alexandra Kazan et présenté par le comédien Bruno Solo, diffusion prévue à l’automne 2018 France 2: tourné en 2018 . docu-fiction"Molière, l'Affaire Tartuffe" TF1: le 28 octobre 2017 à 13h30, lors de l'émission "Des jardins extraordinaires" France 3: Des racines et des ailes à Ancy le Franc c'était en juillet 2015 le château d'Ancy-le-Franc au cinéma 1964 : Angélique, marquise des anges de Bernard Borderie 1990 : Dames galantes de Jean-Charles Tacchella 2000 : Highlander: Endgame de Douglas Aarniokoski 2001 : Le Petit Poucet d'Olivier Dahan 2004 : Julie, chevalier de Maupin de Charlotte Brandström ************************************************************ Horaires des visites du château d'Ancy le FrancLe château Ancy le Franc est ouvert à partir du 23 mars 2019Horaires
des visites du château d'Ancy le Franc : https://www.chateau-ancy.com/fr/horaires/
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